Le psychopathe qui me sert de voisin. (ft. Chaud Caca wsh)

Cela faisait peu de temps que j'étais arrivé dans ma nouvelle classe. Effectivement, je l'avais rejoint le matin même. C'était une salle de classe normale, ce qu'il y a de plus banale. Plutôt poussiéreuse et sombre du fait qu'un des volets était cassé, elle donnait encore moins l'envie d'apprendre qu'une autre salle de classe classique. Mais peu m'importait, étant un génie, les cours m'ennuyaient et je venais en cours essentiellement pour voir mes petites victimes.
On m'avait fait m'asseoir dans le fond. Un parfait endroit du fait qu'il permettait d'avoir une vue d'ensemble sur la classe et sur tout ses occupants.
J'étais donc assis à côté d'un garçon un peu plus petit que moi. Il avait des yeux verts émeraudes et des cheveux blancs un peu ondulés. Il semblait plutôt timide et ne m'avait encore pas adressé la parole. Il ne levait pas les yeux de son cahier, toujours concentré sur la leçon même si elle était fort peu intéressante.
Je scrutais la salle, en "scannant" chacune des personnes présentes ici. Je réfléchissais à comment je pourrais tuer chacun. Je me mordillais la lèvre tout en y pensant. J'imaginais chaque détails de chaque scène. Je calculais tout puis recommençais car insatisfait. Je pensais à leurs regards me suppliant d'arrêter (OMFG ça fait pédophile, excusez moi xD). Puis je m'imaginais leur sang gicler et recouvrir mon visage et mes mains qui elles même tremblaient légèrement à ces pensées.
Un bruit de stylo qui tombait se fit entendre. Peu m'importait, j'étais obsédé par mes douces pensées délicieusement macabres. Sans vraiment le voir, je vis mon voisin se pencher, essayant de rattraper quelque chose je ne cherchais pas alors à comprendre du fait que je fixais une victime ma foi très intéressante.
"Tu peux me repasser mon stylo, s'il te plaît ?" me demanda-t-il.
Je sursautais en entendant sa voix qui me tira hors de mes songes.
"Ouaip." lui fis-je en me baissant. Je lui ramassais son stylo et lui posais dans sa main en souriant.

"Qu'est-ce que tu regardes comme ça ?" me demanda-t-il.
Qu'est ce que je regardais ? C'était plutôt simple à deviner mais bon.
"Je regarde les gens de la classe pour essayer de deviner leur caractère."
Ah... Un mensonge de plus. C'était si simple de mentir avec ce genre de personnes. Je n'allais tout de même pas lui révélais mes plans macabres, bien que cela aurai été marrant de voir sa réaction. Il semblait se poser beaucoup de questions à mon sujet, et tant mieux, c'était si amusant de le voir doûter.
"Pourquoi cette question ? Cela te dérange que j'agisse ainsi ?" lui fis-je en plongeant mon regard dans le sien.

Il ne me répondit pas, peut-être l'avais-je offensé. Il tourna la tête et reprit son cours. Il semblait bien énervé, ce qui m'amusait. Je lâchais un petit soupire amusé et sortis un stylo à l’effigie d'Hatsune Miku afin de reprendre mon cours. Je notais mon cours quand soudain je sentis quelque chose autre que mon voisin bouger sur la table. Une araignée. Elle avançait vers mon cahier. Je posais alors mon stylo et sortit mes ciseaux de ma trousse. Je jouais quelques instants avec tout en regardant le tableau. Mes doigts tremblaient en touchant les lames froides du ciseau, ce qui me rappelait les cadavres de mes victimes.
Puis d'un coup de plantais mes ciseau dans la table afin de tuer l'araignée.
Une vie de plus d'ôtée. Dommage que ça n'ai pas été un humain, cela aurait été bien plus marrant.
( Sorry pour ma réponse de merdeuh ;-; )

Ayant tué l'araignée, je retirai mes ciseaux de la table puis les observais. Ils étaient devenus sales du fait qu'ils avaient été touchés par le sang d'un insecte impur. Je sortis un mouchoir et essuyais mes ciseaux avec.
Puis je levais la main afin de demander la permission à la professeure de me laisser aller le jeter à la poubelle. Après avoir eu son autorisation, je me levais et avançais jusqu'à la poubelle.
Je marchais tout en affichant un sourire charmeur puis jetais mon mouchoir. Je fis demi-tour puis commença à regagner ma place avec ce même sourire, autant se mettre les brebis dans la poche dès le début. Ah là là là, toutes ses futures petites victimes qui me regardaient avec un regard admiratif, c'était si amusant de les voir ainsi alors que tôt ou tard elles finiraient toutes tuées de mes propres mains.

A peine avais-je retrouvais ma place que la cloche sonna. Tout les élèves se levèrent et rangèrent leurs affaires.
Je pris alors mon sac et y rangeais mes affaires puis je mis mon manteau. Je marchais vers la porte puis me dirigeais vers l'extérieur après avoir discuter avec quelques filles.
Il faisait bon et beau, je décidais alors d'aller sur un banc un peu à l'écart et sortit mon calepin. Le moment de me "droguer". J'ouvris mon calepin et gribouillais dedans avec mon stylo.

OUI MON PETIT N'ENFANT